J’ai trouvé cette vidéo au gré de mes errances sur le net. À la fois rafraîchissante et imbue d’espoir, je n’ai pas résisté à la partager.
httpv://www.youtube.com/watch?v=Us-TVg40ExM
J’ai trouvé cette vidéo au gré de mes errances sur le net. À la fois rafraîchissante et imbue d’espoir, je n’ai pas résisté à la partager.
httpv://www.youtube.com/watch?v=Us-TVg40ExM
J’ai beau le traiter de tout les noms, mais ce beau disque dur bijou technologique de chez Maxtor ne veut décidément pas repartir, et je commence à craindre le pire.
J’espère vraiment trouver un bon logiciel pour le récupérer!
Toutes les idées sont les bienvenues: Que faire d’un disque dur ntfs, lorsque scandisk (chkdsk /f) n’arrive pas à y accéder en écriture même avec les bons privilèges?! (poubelle est évidemment exclu des solutions, lol)
Edit: Linux saved the day… Pfiou, échappé belle, je m’y laisserai plus prendre à nouveau. Sauvegarde redondant désormais!
Cette fameuse rançon s’exprime parfois de bien curieuse façon.
Si vous doutiez encore de la nature périlleuse du métier d’écrivain, il faudrait peut-être songer à reconsidérer votre impression. Puisqu’apparemment, il ne suffit pas d’avoir traversé les épreuves qui mènent de l’idée à la tenue en main d’un ouvrage papier pour être enfin tranquille, Roberto Saviano vous l’affirmerait sans doute…
Pour en revenir au sujet qui nous occupe, il s’agit d’une calamité qui frappe un auteur que personnellement j’apprécie beaucoup, G.R.R. Martin. Sa sublimissime série du Trône de fer lui cause apparemment des sueurs froides ces derniers temps, ou plutôt les fans de mauvaise foi adulant cet ouvrage.
En effet, dû au reports consécutifs de la sortie du dernier tome en date, A Dance with Dragons , 5ème d’un total prévu de 7, beaucoup de personnes ont commencé à exprimer de manière très ardente leur mécontentement jusqu’à exiger de l’auteur d’arrêter tout autre activité de sa vie pour se consacrer uniquement à ce bouquin.
Voir les proportions que ça prend me fait sourire et m’effraie à la fois. L’homme est vraiment un animal étrange…
Si j’ai le courage de traduire plus tard la notice de l’auteur envers ces ardents détracteurs, je la posterai ici, en attendant les adeptes de la langue de Shakespeare peuvent d’ores et déjà visiter le live journal de sieur Martin qui se défend tout de même avec panache…
Je le plains néanmoins. A voir comment les bonnes choses peuvent tourner au vinaigre me fait penser que la vie, en effet, réservera toujours même au plus averti quelques surprises, ce qui la rend passionnante évidemment…
Tenez, jugez par vous-même ! http://grrm.livejournal.com/74995.html
Bien plus tard que la plupart de mes camarades de la scribouille, je me mets également à jour et sacrifie à la traditionnelle farandole de bonnes résolutions. N’ayez crainte, je ne compte nullement vous assommer avec l’acompte des joies et vicissitudes de ma vie personnelle. Nous allons bien sûr nous limiter à la littérature.
Grâce à la magie de l’hyperlien, j’ai pu tomber un peu par hasard sur le blog d’un certain Tonton Beorn, très intéressant par ailleurs, mais que je n’ai eu que le temps de survoler pour l’heure. Un article m’y a pourtant scotché (Vous croyez que c’est facile, qu’il suffit de savoir lire et écrire ?) et qui parle de la naïveté bien nécessaire que l’on a tous, je pense, lorsqu’on se lance dans cette activité aux joies et aux douleurs insoupçonnées qu’est l’écriture.
Ça tombait bien puisque j’étais en pleine période d’analyse synoptique de mon Œuvre (en toute modestie, bien entendu) afin de voir son évolution et de dégager des voies d’avancement.
Avec trois romans en cours sur le dos, dont l’un qui pour toutes les qualités que je lui trouve reste bien kilométrique (le fameux piège de la multilogie, oui, compatissez ^_^) et deux autres entamés dans le feu de l’inspiration sans avoir formellement dressé ces lignes directrices dont parle tata Syven dans les fameuses Aventures de Robert, il était temps de faire le point, surtout après une si longue pause sans vraiment écrire.
J’avoue avoir eu le bon réflexe, celui d’aller inspecter la blogosphère pour voir comment les autres, bon gré mal gré, arrivent à s’en sortir. C’est ainsi que je tombe sur la version 2 des Aventures de Robert et je les ai littéralement happés. Sans grandiloquence et avec beaucoup d’humour, les ennemis de l’Écrivain sont dénoncés et maîtrisés. Et l’on en sort sinon motivé, tout à fait éclairé.
Du coup, décision logique après lecture de ces avis judicieux, pas de rédaction à proprement parler avant d’établir pour chaque projet, les lignes directrices et un scenario complet…
Il y a donc du travail, mais je pense sincèrement pouvoir gagner par la suite en efficacité.
Pour ceux d’entre vous qui lisent ces lignes et qui suivait sur mon ancien blog, le roman Allégeance, voici en gros l’explication de ce retrait. Cette nouvelle manière de travailler me rendra difficile de continuer à le publier sur le web de manière épisodique. Je compte néanmoins vous tenir au courant des avancements. Et pour ceux qui seraient vraiment intéressés, peut-être trouverais-je parmi vous ces fameux bêta-lecteurs ! ^_^
Trame synoptique de l’éditeur
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Paru |
Paru |
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Paru |
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Webzine ITINÉRAIRES #4 De L’Exil Au Nouveau Monde |
AT cloturé, couverture réalisée par Sieur Hannibal, les textes retenus à être dévoilés bientôt… |
Anthologie Chevalier Errant |
Corrections en cours, bilan intégrale bientôt… |
D’une part, l’expérience me l’a prouvé plus d’une fois, un bon casting n’est pas toujours gage de qualité, de l’autre, les productions de cinéma Fantasy ont à mon sens souffert un peu (beaucoup ?) d’un manque d’aboutissement ces derniers temps.
Heureusement qu’il y a toujours de temps en temps de petites perles qui sortent du lot. Tel est le cas de OUTLANDER, avec James CAVIEZEL (La passion du Christ, Le comte de Monte-Cristo), John HURT, immense acteur, toujours remarqué, en premier ou en second rôle, Jack HUSTON, un nouveau venu très prometteur et Sophia MYLES qui apporte un peu de douceur (à sa manière) dans ce monde de brutes.
Pourtant, le postulat semblait tout sauf génial de premier abord. Un soldat du pur type SF, un dragon et des Vikings apparemment tout droit tirés d’un monde Fantasy. L’alchimie fonctionne, et l’on est agréablement surpris.
Kainan, guerrier venu d’une autre planète échoue sur Terre aux environs du 8ème siècle alors que les Vikings vivent leur heure de gloire. Son crash a été occasionné par son combat contre un Morween, une espèce de dragon qui a décimé son monde.
Ses pérégrinations le mènent à conclure un pacte difficile avec ses geôliers vikings afin d’éliminer la menace du Morween.
James CAVIEZEL réussit une fois de plus à incarner avec brio ce genre de héros pénétré par une destinée funeste, humain et très résilient, trouvant leur force dans l’extrême de leur situation, l’adversité.
Un bon moment de détente que je recommande à tout amateur de SF et de Fantasy…